Steppe by Steppe MONGOLIE/ VINCENT TOURNOUD

Steppe by Steppe
MONGOLIE / Vincent Tournoud

VINCENT TOURNOUD

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Khöömii !

Steppe by Steppe, ce sont aussi des voyages intérieurs…

Ici, vous trouverez des informations sur les ateliers collectifs et les cours de chant diphonique ou “khöömii” que je propose régulièrement.

Pourquoi le chant diphonique ?

J’ai toujours été passionné de chant. Parfois je m’entraînais au khöömii en regardant des vidéos, en écoutant des morceaux de chanteurs mongols ou touvains.

En 2015, grâce aux conseils de l’ethnomusicologue Johanni Curtet, rencontré dans le cadre de mon travail, je décide de partir apprendre sur place, en Mongolie. Je prends un congé sabbatique, achète une enregistreur, une paire de micros et pars à la rencontre de maîtres de chant dans la région de Hovd, à l’ouest du pays. Je fais mes premiers pas avec l’exigent Tserendavaa Dashdorj dans le village mythique de Chandman. À mon retour en France une seule envie : y retourner !

Durant mon second voyage, j’ai la chance de rencontrer le maître de chant Sengedorj Nanjid et de devenir son élève. Durant ce long séjour chez lui au bord de la rivière Buyant, je me fais la promesse de revenir chaque été pour continuer mon apprentissage dans ce contexte traditionnel et proche de la nature.

En France, durant l’année scolaire, je propose des ateliers collectifs et des cours particuliers pour celles et ceux qui apprécient de se sentir… vibrant !

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 Un petit exemple  – mélodie traditionnelle mongole a capella
Qui suis-je ?

Né dans les Alpes, titulaire d’une licence en littérature et d’un légendaire optimisme, je débute ma carrière dans l’action culturelle pour un grand festival de musique du monde.

À 26 ans, je pars apprendre le chant diphonique et réaliser des enregistrements sonores en Mongolie.

Depuis quelques années, je parcours les steppes mongoles à la recherche des plus beaux paysages, au plus près des familles et de leurs traditions.

En 2016, à la demande d’une chorale drômoise, je propose un premier atelier de chant diphonique. C’est le début d’une passion pour la transmission du khöömii !

Cette quête du chant m’entraîne sur les terrains de la création artistique, de l’enseignement, de la méditation ou de la recherche métaphysique avec un bonheur toujours renouvelé.

Mes autres passions  ? La chanson, la randonnée… et le voyage bien-sûr 😉

Questions / réponses

D’où vient le chant diphonique ?

D’après les légendes de l’Altaï (chaîne de montagnes traversant la Russie, la Mongolie et la Chine), le chant diphonique ou “khöömii” serait une manière d’imiter les sons de la nature : les rivières, les cascades, le vent, le tonnerre, le chant des oiseaux, les cris des animaux.
Depuis des temps immémoriaux, on l’utilise en Asie centrale pour interpréter des airs populaires, chanter des louanges à la Nature.

On distingue deux types principaux de khöömii : le grave (kharkhiraa) et l’aiguë (isgeree). A ces styles s’ajoutent de nombreux effets selon l’inspiration des chanteurs et des chanteuses et selon les traditions locales.

<plus d’infos>

Comment diphoner ?
Le timbre vocal fondamental ou “bourdon” est formé dans la gorge du chanteur concentré grâce à une pression simultanée du diaphragme et du pharynx. Cette “couleur de base” du chant diphonique est une voix de gorge dite “pressée”. Le bourdon est dirigé vers le voile du palais et les différents résonateurs du corps. Ce grondement initial s’enrichit d’une épaisseur de fréquences dans son parcours vers les lèvres. Pour produire une mélodie, la langue, les lèvres et les modulateurs de la gorge se placent et en bougeant, choisissent et guident certaines harmoniques saillantes vers l’extérieur. C’est alors qu’on entend résonner dans l’espace une mélodie qui paraît irréelle… mais qui est bel est bien physique.

<plus d’infos>

Est-ce accessible à tous ?

Oui ! Même si cela peut vous paraître difficile au premier abord. Il s’agit d’un art exigent qui demande puissance et persévérance et c’est une des vertus de son apprentissage.
Cependant, les bases du timbre guttural, la production d’harmoniques et l’écoute des mécanismes à l’œuvre dans notre corps pour diphoner sont accessibles en quelques heures à toutes et tous.

Comment se déroule un atelier ou un cours ?

Cela dépend du nombre de participants, du niveau et des envies du groupe. Un atelier du découverte collective dure entre 2h et 1 journée, un cours individuel dure 1h, à Grenoble, selon un cycle à déterminer.

Durant un atelier, nous abordons la dimension ethnologique, physique et physiologique de du khöömii. À travers des exercices spécifiques, nous explorons la posture, la respiration, l’écoute des sons, l’écoute de soi, la voix de gorge et la production d’harmoniques. En complément, il est envisageable de partager la dimension émotionnelle de cette pratique dans une approche méditative ou de développement personnel.

Est-ce une pratique ésotérique ?

Il est très intéressant de constater l’aspect vibratoire du monde et les effets du son sur notre corps ou notre mental. Chacun peut en faire l’expérience en chantant dans différents contextes ou avec certaines intentions. Dans le cadre d’une thérapie adaptée, le chant peut avoir des effets remarquables.
Je vis régulièrement des voyages intérieurs et j’en mesure les effets bien au-delà du chant.

Toutefois, le chant diphonique n’est traditionnellement pas relié aux cérémonies chamaniques. Un atelier n’a pas vocation à provoquer un état de transe.

J’ai improvisé un crépuscule mystique en chant diphonique

Un jour, j’ai eu la chance d’improviser dans une Cathédrale avec un chœur merveilleux 🙂

J’ai plein de vidéos comme celle-ci sur ma chaîne You TuBe

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Vous souhaitez organiser
un atelier, prendre un cours ?

Écrivez moi !

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https://www.steppebysteppemongolie.com/chantdiphonique?fbclid=IwAR1PCLy8xZaa3J4x5uyfoMDNwIG5l_jIgqYmQZYcoj24dbxHMyU5ylg1E4k

Aionigma: ALLELUJAH (Gregorian Chant & Overtone Singing)

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Ajoutée le 8 juil. 2019

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Aionigma: ODE TO JOY (Overtone Singing, Guitar, Monochord)

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Aionigma: ODE TO JOY | ODE AN DIE FREUDE (Overtone Singing)

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